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A la lumière de l'étude précédente, il apparaît que le qualificatif de ``mauvaise trace'' est abusif car dans la pire des situations, la trace mal associée a les mêmes caractéristiques que cette même trace uniquement composée des points de la TPC. Mais dans 40% des cas, la trace même partiellement correcte présente des erreurs sur la position réduites d'un facteur important par rapport aux traces de la TPC. Il apparaît alors intéressant d'élargir la définition des ``bonnes traces'' à celles pour lesquelles les erreurs en position sont réduites de façon notable, c'est-à-dire celles qui ont plus de la moitié de leurs points correctement associés dans le détecteur de vertex. Le tableau 4.7 résume les efficacités et puretés réajustées après ces considérations.
Tableau 4.7:
Comparaison des résultats de EST en fonction de la définition choisie pour les ``bonnes traces''.
|
Définition stricte |
Définition élargie |
|
des bonnes traces |
des bonnes traces |
|
Total |
Primaires |
Secondaires |
Total |
Primaires |
Secondaires |
Efficacité % |
67.8 |
71.8 |
56.7 |
74.2 |
77.0 |
66.5 |
Pureté % |
81.3 |
85.4 |
69.6 |
89.1 |
91.5 |
82.1 |
|
Il faut cependant replacer cette présentation des résultats dans la perspective d'une analyse ultérieure et non comme une efficacité ou une pureté de l'algorithme de trajectographie étudié. La pureté est, par définition, un paramètre limitatif du nombre de traces correctement reconstruites, il est donc nécessaire de réduire le nombre de mauvaises associations même si celles-ci ne conduisent pas à des conséquences ``catastrophiques''.
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Walter Pinganaud 11 Octobre 2000