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a - Pour un rapport signal sur bruit faible: $\frac{S}{N} = 1$

La figure 5.12 montre les distributions combinées en masse invariante pour les baryons étranges considérés.

Figure 5.12: Distributions en masse invariante des $\Lambda $ et $\overline {\Lambda }$ pour les trois configurations, $\frac{S}{N} = 1$.
\resizebox* {0.7\textwidth}{!}{\includegraphics{plotV0/LA_low.eps}}


Tableau: Nombre de baryons étranges reconstruits par événement, $\frac{S}{N} = 1$.
  Configuration I Configuration II Configuration III
TPC-TPC 0.47   0.48   0.23  
TPC-VTX / 0.47 0.04 0.61 0.23 1.29
VTX-VTX /   0.07   0.83  


Les gains en terme de taux de reconstruction de baryons étranges sont très dépendants de la configuration du détecteur de vertex utilisée. En comparaison des $K^{0}_{s}$, les $\Lambda $ et $\overline {\Lambda }$ ont une distance de vol moyenne deux fois plus longue. La technique de trajectographie utilisée est alors cruciale, puisque requérir un point dans chacune des trois couches du SVT devient alors une contrainte extrêmement forte pour la recherche des vertex secondaires générés par la décroissance de ces baryons étranges. Ceci est vérifié en observant les populations relatives des vertex de type VTX-VTX pour les configurations II et III. Cette observation est encore plus nette pour les vertex de type TPC-VTX où les proportions théoriques devraient être du même ordre mais sont dans notre étude 6 fois plus faibles pour la configuration I. L'apport du détecteur de vertex pour la configuration II est moindre puisqu'elle induit un gain de l'ordre de 30% dans la reconstruction des $\Lambda $. Ce même gain est égal à 2.8 pour la configuration III qui tire plein avantage de l'absence de contrainte sur le nombre de points associés dans le détecteur de vertex.


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Walter Pinganaud 11 Octobre 2000