Le taux de comptage de la particule considérée est ensuite mesuré après soustraction du bruit de fond. La principale difficulté de ce type d'analyse consiste à évaluer correctement ce bruit de fond. Celui-ci est estimé en reconstruisant des vertex composés de particules provenant de différents événements. Cette approche peut être utilisée pour construire des spectres en masse en impulsion transverse. Ce type d'étude ne nécessite ni un échantillon de particules étranges très pur, ni une identification individuelle des vertex secondaires proposés.